Dans une tribune publiée dans Le Monde, Clémentine Autain répond à Valérie Pécresse en rappelant que « la main qui tremble », pour l’instant, c’est surtout celle de l’État quand on lui demande de signer un vaste plan pour combattre, dans les banlieues, cette inégalité qui nous asphyxie. C’est là qu’il faut porter un haut niveau d’exigence. 👇