Clémentine Autain apporte tout son soutien à Patrice Bessac, Olivier Sarrabeyrouse, Abdel Sadi et Azzédine Taibi, maires de Seine-Saint-Denis qui ont fait le choix de ne pas mettre en œuvre le passage à 1607 heures au sein de la fonction publique territoriale. Alors que ces fonctionnaires ont été en première ligne, longtemps sans protection, lors de la crise sanitaire, il n’y avait aucune urgence à convoquer devant le tribunal administratif les équipes municipales qui font le choix de privilégier la concertation au passage en force. Si réforme il doit y avoir, elle doit se faire en accompagnement et avec l’appui des personnels, non contre eux.