Le néofascisme et le masculinisme s’imbriquent, s’alimentant l’un·e l’autre.
Penser que les partisan·es de l’émancipation pourraient gagner face à l’internationale réactionnaire et autoritaire en faisant l’impasse sur le féminisme est une faute morale et stratégique.
Encore faut-il bien saisir à quel niveau se situe la confrontation.
Encore faut-il en finir avec l’opposition entre le social et le sociétal pour articuler tous les combats émancipateurs.
Encore faut-il opposer clairement l’égalité à leurs obsessions identitaires.
Encore faut-il s’inspirer du féminisme pour transformer notre rapport au pouvoir, à la politique.
Retrouvez mon article en intégralité dans Le Grand Continent.

