
Gouverner pour quoi et comment
Le débat public devient aussi fou qu’Emmanuel Macron. Alors que le gouvernement Barnier vient de tomber, la charge du chaos est inversée sur toutes les chaines, sur tous les tons. Comme si la faute n’était pas celle du Président. L’immoralité

Pourquoi le consentement dans la loi est une fausse bonne idée
Il y a quelques semaines sur France Inter, j’exprimais mon doute sur l’introduction de la notion de consentement dans la loi sur le viol. Le livre de la philosophe Geneviève Fraisse, Du consentement, que j’ai lu à sa sortie en

TRIBUNE : Quand Kasbarian s’en prend à tous
“Quand un médecin accorde un arrêt maladie aux fonctionnaires, ils ont besoin de repos et de soins ! Pas de voir leur salaire diminuer, pas d’être montré du doigt comme des profiteurs. Sinon, c’est la double peine : être frappé

Dans la poussière : au fond du discours de Barnier
Poussiéreux. C’est ainsi que j’ai perçu le discours de politique générale du Premier ministre. Oui, il sentait la naphtaline. Et s’il n’avait pas l’arrogance de ses prédécesseurs, il était bien soporifique. Vieux jeu et sans relief, Michel Barnier a slalomé

« En même temps » : et de droite et d’extrême droite
Deux mois pour en arriver là, c’est aussi affligeant qu’explosif. La nomination de Michel Barnier est un coup de tonnerre dans un ciel démocratique déjà très assombri. Le mépris pour les Français.es, à qui Emmanuel Macron prétendait demander leur avis

Lucie Castets à Matignon : il est plus que temps !
Quel est ce président de la République qui décide la dissolution de l’Assemblée nationale et pourrait s’asseoir sur le résultat des urnes ? C’est Lucie Castets et personne d’autre qui devrait déjà être à Matignon pour commencer à réparer les dégâts